Vendredi - Capri et retour à Naples

Le chanteur n'a pas raison, Capri*** ce n'est pas fini, il y a même beaucoup de belles villas, de magasins ultra-ultra-ultra chics, des taxis rallongés, aux intérieurs en cuirs de toutes les couleurs, beaucoup de touristes aussi, je n'ose imaginer les ruelles des deux villes de l'île en juillet et en août.
Au programme du matin, débarquement à Marina Grande, bus, puis montée au mont Solaro. Oh! ce point culminant de l'île n'est pas très haut, 589m, et nous partons de 100m. Seulement il n'y a pas beaucoup de kilomètres, et la pente est raide. Plus que raide. 20%,30%, au moins au départ? Thérèse avait bien sûr opté pour le funiculaire, le reste du groupe a préféré les gambettes. Et on est monté, pour arriver au sommet où nous avons pique-niqué dans le brouillard et le froid! Autant dire que la vue, macache, à peine voyait-on nos pieds!
Après la descente, nous arrivons dans la cité de Capri en même temps que la pluie. Cela aura accéléré la visite, pas passionnante du reste en raison du caractère totalement artificiel de la ville. Un pot sur une terrasse près du port où Michèle aura alterné les quatre chaises de la table pour tenter de concilier absence de pluie et vue, et retour à Naples par bateau vers notre hôtel des deux premiers jours.

Naples et retour

Pas de pluie à 18h à Naples, mais des nuages. Nous quittons le groupe pour tenter de visiter le Castel Nuovo, dont nous savions qu'il fermait à 19h. Mais l'accès des visiteurs ne se fait plus après 18h.
Retour à pied à la piazza Dante, par un parcours qui nous est maintenant familier, dernière entrée dans la galleria Umberto, métro, dîner avec le groupe dans une trattoria piazza Garibaldi, et lendemain, bus Allibus, 4€, vers l'aéroport et retour à Roissy.

Voilà un beau séjour où nous aurons vu des choses inoubliables, marché sur des chemins magnifiques, et où nous aurons pu aussi nous détacher du groupe pour laisser prise à notre fantaisie.

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